mardi 31 mai 2011

Le Delaware, ses plages


Durant ce week-end allongé de trois jours
, nous sommes partis visiter le Delaware. Un Etat auquel l'hilarant Bill Bryson (dans un bouquin contant ses pérégrinitions dans 38 Etats d'Amérique) n'accorde que dix maigres lignes, le jugeant inintéressant, petit, banal...

Je n'irai pas jusque là mais disons que je ne connaissais de cette mini-portion des USA (dont la devise est "the first state") que les autoroutes payantes -phénomène plutôt rare ici bas- et Joe Biden, son plus illustre citoyen.


Et bien, ma culture delawarienne n'ira sans doute pas plus loin que les plages de Lewes. Vous en saurez la raison dans les deux prochains billets de ce magnifique tryptique. En attendant, ces plages-là, visitées samedi, ont un goût unique pour nous.



Figurez-vous que cela fait sept ans que nous n'étions pas allés, en famille, sur une plage en été. Avec le reste du monde.

J'étais si impatient d'immortaliser l'instant que la ligne bleue n'en est même pas droite.


Et la liste des "plaisirs de la mer".
- Le sable dans les pages du livre.
- Pas de bonne position pour lire.

(Maintenant, à vous de jouer)

8 commentaires:

helen. a dit…

S'endormir (bon qd l'index UV le permet) avec les fnd sonore des jeux de plage.
Observer (ça veut pas dire mater hein) les comportements des un set des autres.
Lire des bétises.
Mettre les pieds sous la sable pour sentir la fraîcheur.
Chercher des coquillages avec les kids et faire un concours de cabrioles dans l'eau.
(et oui je suis inomnique de la nouvelle lune et en manque de plage!)
Le delawere, j'ignore où c'est...

Nath a dit…

Sais-tu que j'ai du sable de cette ville, dans la lampe de mon bureau ?.. Un bon souvenir, il faisait froid, il pleuvait et la plage etait deserte !

Comme je l'aime... Bises de Nath

L'affreuse a dit…

La première promenade sur ma plage après neuf heures de route et onze mois d'attente.

MA plage (je peux donner l'adresse si besoin, je ne suis pas exclusive, les plages ont besoin de vivre).

Faire des grimaces à cause du soleil quand je lis sur le dos.

M'endormir sur le livre pendant que Mario* court sur ma plage après une balle emportée par le vent, accompagné des deux enfants pendant au moins trois heures (sans eau).

Adopter un petit chaton et lui donner le nom d'un personnage d'un livre lu sur ma plage.

Me souvenir de ma plage pendant onze mois.

Déménager au bord de la mer (de l'autre côté de ma plage, mais quand même)

Léa a dit…

Y aller le matin, à pieds, quand il y a trois pelés deux tondus, que le vent est vif et qu'on a l'impression qu'elle nous appartient. C'est très snob en fait, ça fait genre : "je vais à la plage avant qu'elle ne soit envahie par les hordes de touristes" Mais j'assume, j'aime pas la populasse ;o)

L'affreuse a dit…

Léa> ce qui est bien avec ma plage, c'est qu'il y a trois pelés deux tondus même l'après-midi, même si il fait beau. Vive la Bretagne!

ariana lamento a dit…

j'en reviens aussi, j'adore la plage vers 5 heures quand tout le monde s'en va et que je peux faire la grande muraille de Chine en sable avec les gosses

Yibus a dit…

@ Helen : le Delaware, c'est un minuscule Etat qui donne sur l'Atlantique à l'est du Maryland et au sud du New Jersey.

@ Nath : excellent, tu me montreras dit, quand j'en serai à mon second litre de margharita (merci bien).

@ L'affreuse : alors ça, dis donc, la plage c'est quelque chose pour toi... Je n'en dirais pas autant... J'aime la campagne d'amour et d'eau fraîche.

@ Léa : nous non plus (pour la populasse)... Alors, on y va en automne ou en hiver.

@ Ariana : carrément, tu y restes toute la nuit, alors à la plage (remarque, c'est beau, aussi, une plage, la nuit...).

lapuce a dit…

J'va faire comme Léa!
La plage de la Grande-Motte n'est viable qu'entre 6h et 10h du matin, après c'est mort pour moi, je fuis, je cuis, je luis, et finalement je nuis.
Ramasser des coquillages et des bouts de bois flotté ...
Mais ... grande nostalgie des crapahutages dominicaux de mon enfance sur les plages normandes et bretonnes ...
biZ