mardi 15 janvier 2008

Au nom du père

Tony Parker est un homme comme les autres. Quoique. Il est basketteur. Ce qui suppose une certaine hauteur de vue, malgré son 1m86. Et ses trois bagues de champion NBA qui peuvent alourdir la silhouette. Malgré cela, le mari d’Eva Longoria, qui approche de ses 26 ans, a des envies très terre-à-terre de paternité. Il veut des enfants, et rapidement. « Pour qu’ils me voient jouer », dit-il. L’information est d'aujourd'hui mais le désir est plus ancien.
Le joueur, qui porte –à l’américaine- le même prénom que son père et que son grand-père, espérait voici quelques années vouloir jouer en équipe de France avec ses deux frères, plus jeunes que lui. Une dynastie Parker, tous sur le terrain et les parents dans les tribunes.

Maintenant, l'idée est plutôt d'avoir papa sur le terrain et fiston (ou fistonne) qui applaudit dans les bras de maman. Pas de doute là-dessus. Mes trois enfants ont pu voir leur grand-père, balle en main, s'amuser sur un terrain. Le beau se faufile partout.

Dans un poème de Rilke récité par Laurent Terzieff chez Pivot.
"Pour écrire un seul vers, il faut avoir vu beaucoup de villes, d'hommes et de choses, il faut connaître les animaux, sentir oomment volent les oiseaux et savoir quel mouvement font les petites fleurs en s'ouvrant le matin....."

Une drolatique ivresse de La guerre des Boutons.

Ou cette capoiera exécutée sur le sable.

2 commentaires:

JJ a dit…

Bonjour,

A propos du Basket, quand je croiserai le grand père, qui joue toujours au basket et remplace quelque fois au pied levé les compétiteurs,je luis dirai que sur un terrain il s'amuse; connaissant sont caractère...
Très bon blog je suis un lecteur assidu.
JJ

Yibus a dit…

@jj. Dis-lui de ralentir, quand même, sinon, il ne tiendra pas les trois prochaines années !
Merci pour les encouragements. On va essayer de continuer à ce rythme endiablé de samba américaine (euh... là, non, l'association ne marche pas vraiment...)