Jour 2 : Mont Rainier

De la pluie, de la neige, de la brume, de la neige fondue, une montagne (que dis-je, un volcan) qui joue à cache-cache dans la forêt avec les nuages qui s'envolent en le tutoyant...

C'est le paysage du Parc National du Mont Rainier, avec un ciel si bas qu'il fait l'humilité.

Une rencontre dans le "visitor center" (la maison en triangle) avec une Lyonnaise qui passe ses vacances dans le coin après être allée à Vancouver à une convention réunissant les fans de la série de Science-fiction "Stargate"...

Et l'hôtel réservé voici deux mois sur internet qui est désert. Personne à l'accueil, juste un numéro de téléphone sur la porte. Je sors le portable, pas de réseau.

Dans un autre hôtel, au centre de la bourgade, la dame de l'accueil me dit qu'il est en faillite, que les propriétaires essaient de le vendre... Pas assez de femmes de ménage, pas bien tenu, des punaises à foison... Elle appelle deux fois le numéro, sans succès.

Soit, on reste là. Et le soir venu, des elks, sorte de gnous du nord, paissent sur la pelouse, entre l'hôtel et la station-service.










Et la liste des " bêtes à quatre pattes pataudes"
- Les gnous
- Les okapis
- Les phacochères (en fait, j'adore dire ces mots, mais dire qu'elles sont pataudes, je n'en sais rien).

(Maintenant, à vous de jouer)