Ouaouh... Trop la joie, du bonheur en pot, rougissement du bas en haut de la tête, sonnez hautbois, médaille en bois et l’éternité plus un jour… La tête aussi remuée que le Potomac que voilà en face... J’ai été tagué par
Sixtine (6)… Mais conservons une apparence et un maintien dignes.
Or donc, 6, comme nous l'appellerons, ce n'est pas un numéro mais la proprio du Kloub6, un vraiment chouette coin où je me rends -sans faute- chaque matin en buvant un café (bien noir avec un peu de lait). Bon, le problème, c'est qu'il faut parler de soi. Pouah, j'aime pas trop... Quoique, je me creuse la tête pour faire un tit truc chaque jour, avec les listes. ^^.
L’idée, quand t’es tagué, c’est de suivre le règlement ci-contre :
*mettre le lien de la personne qui t'a tagué
*mettre le règlement sur ton blog
*mentionner 6 choses / trucs sans importance sur toi
*taguer 6 personnes en mettant leur lien
*les prévenir sur leur blog
Mais c'est si gentiment demandé. Et pis, faut quand même dire, son bloug à Sixtine, il est drôle, foutraque, malin. Il y a plein de mots nouveaux inventés par sa tête. Et j’aime autant les commentaires des gens que les billets de 6. Je les préviens, les gens des commentairres... Un jour ou l'autre, ils vont tous finir dans la barre, là, à droite... Bref, je suis fan de la miss et très honoré. Bon, c'est pas tout ça, mais faut y aller. Vous voulez du pipole ? (perso, j'adore le pipole)... Vous allez en avoir...
1) La première chose sans aucune importance, c’est que je suis fou des chiffres. Mais alors, dingue de chez raide… Ils me trottent dans la tête, mon livre de chevet, ce serait le Livre des records. J’ai dû être sous perfusion d’ « Incroyable mais vrai » dans la jeunesse. A 12 ans, j’ai écrit environ 15 000 fois le chiffre 1 en une journée. Et le plus dingue, c’est que le monde a continué de tourner après ça. Même que dans la vraie vie, je me retiens de donner des chiffres quand je parle aux gens. Bon, j’en glisse quand même un toutes les quatre phrases. L’idée de base, c’est que, quand c’est pas avec des chiffres, c’est pas vrai. Et puis j’aime bien rigoler avec les chiffres. Quand je dis des chiffres que j’invente, aux gens, je rajoute « théoriquement », dans la phrase ; comme ça, ceux à qui je l’ai dit, savent que c’est pour de faux. Par exemple ; « j’ai fait 41 coupelles de flan au chocolat aujourd'hui... Théoriquement." Alors, qu'en fait, c'est 28 (uh, uh).
2) Toujours une histoire de chiffres ; dans l’avion, je compte toujours jusqu’à dix dès qu’on décolle. J’avais entendu que 92% des accidents d’avions (théoriquement) se produisaient durant les 10 secondes après le décollage. Complètement stupide, n'est-il pas ?
3) Je flaire, je sens, je renifle tous les plats avant de manger. Je trouve qu’il n’y a pas de mauvaise odeur, juste des trucs qui sentent plus ou moins fort. D’où des situations cocasses. Genre la tête d’un Pédégé d’une compagnie d’assurance lors d’un repas au Ritz. J’hésite entre dévasté et outré… Mais je reprendrai bien du fromage, merci. A propos de fromage, mon mix culinaire préféré, c’est du munster au cumin avec du jus d’orange.
4) Pas plus tard qu’hier, je me baladais près de chez nous, et je vois un 4X4 cheveux au vent, porte ouverte, moteur allumé. Personne dedans, personne autour. Eh bien, en continuant mon chemin, j’ai bien pensé, pendant un quart d’heure, à comment le voler sans qu’on me voit. Et, à peu près quatre fois par mois, je réfléchis gentiment au meurtre parfait. C’est pour rire, hein, on le sait tous (hi, hi, hi).
5) Un truc vraiment sans importance, sauf pour moi et les gens consternés autour de la piste ; j’adore danser le disco, le funk et la dance. Un morceau pendant un mariage ? Délaissant le chou trop dur de la pièce montée (je déteste la croquante), je me lance, manque de prendre une chaise dans le tibia, et voilà, sur la piste, dans la bulle, je suis bien… Et c’est tout, mon chou. Ah oui, je suis allé un 31 décembre en boîte de nuit près de chez mes parents, peinard en solo, juste pour y faire les semelles de feu sur le dance-floor.
6) Une dernière chose, j’ai la phobie de faire des trous dans les murs. Je déteste ça, en fait, le bricolage de manière générale. Ce côté bruyant, ça grince, ça tremble. Brrrr, rien que d’y penser…
Bon, c’est pas tout ça de parler de soi en toute décontraction mais faut taguer six personnes. Sinon, ce n’est pas de jeu ! Je connais point trop de monde vu que je viens de débarquer sur le blog-monde. Je vais aller du côté de chez
Flo (en Floride), à Philadelphie, rencontrer
Stéphanie, saluer
Marie du Maryland (ça lui fera un devoir à son retour de vacances…). Hum, hum, ensuite, j’irai bien papoter avec
Hystérie silencieuse, récente et bonne découverte, et mirer les photos de
Sébastien (d’Atlanta) et de
Tristan (de DC et d'ailleurs). Et n’hésitez pas à visiter tous les blogs que j’aime bien, en face… Avec ceux qui s’ajoutent chaque jour que Bidule fait, va falloir "rsser" rapido-presto… Quant aux tagués, ils font comme ils veulent...
Euh, ça y est, là, on peut couper... La prise est dans la boîte. A vous, Cognac-Jay.
Ah, la chanson du jour ; Dolly Parton dans une version simplissime et très touchante de "I will always love you". Toc... Elle parle et la seconde d'après, elle chante... Ça passe comme une lettre d'amour à la poste.
Et la liste des "séries télé"- Bones (la série sur l'alliance FBI-médecin légiste avec le couple d'acteurs le plus hot-subconscient qui soit ; "mais quand vont-ils se toucher la main, à la fin ??")
- Deadwood (les débuts d'une ville à l'époque de la ruée vers l'or ; sociologico-politique, passionnant mais faut suivre les dialogues à coups de doubles négations)
- Rome (la vie au temps de César, coups bas politiques et vie privée, stupre et luxure entre deux coups d'État)
- Alias (la série d'espionnage ultime, totalement irréaliste, où l'espionne se cherche entre un père (américain) distant et une mère (Russe) qui l'a abandonnée)
- The Shield (la vie dans un commissariat avec un flic ripoux et droit et tordu et violent... Du brutal)
- Et le classique... "La petite maison dans la prairie", vu au moins trois fois dans sa totalité, une des raisons de ma venue aux États-Unis)