En tout cas, le contenant est joli (le petit garçon ne l'a pas quittée quinze jours durant, ses siestes et ses nuits)...
N'empêche, l'équation est horrible. Il faut :
- avoir des thermos parce qu'il n'y a pas de micro-ondes à l'école.
- avoir des idées pour ne pas refiler les restes de la veille.
- avoir du sens commun pour ne pas ajouter les chips aux cookies.
Bien sûr, il y a des lunchs toutes faites à acheter dans des hypermarchés au rayon surgelés ou autre. Apparemment, une solution prisée par une bonne quantité d'Américains car ce marché pèse 750 millions de dollars annuels.
On a aussi la solution des sandwiches froids : avoir connu ça en Angleterre durant un voyage linguistique m'a dissuadé de le faire subir aux héritiers.
Reste l'option la plus bête : se creuser la tête... Sachant que la puce n'aime pas les bananes, pas trop le raisin ni les nectarines (bref, elle préfère des poires), que les pâtes se préparent avec gruyèrepour le grand mais pas pour la puce et qu'en plus, nous avons un troisième convive cette année... Le casse-tête est, on va dire, tri-hebdomadaire.
HELP : que faire ?
Certain(e)s prévoient tout dès le week-end précédent dans la liste de courses... D'autres congèlent des monceaux de nourriture et décongèlent le jour J.
Me faut-il organiser un agenda comme ce panneau vu dans un magasin qui prévoit des jeans pour toute la semaine ?
Une Américaine a lancé un site, ici, qui s'inspire du Bento. D'après ce que j'ai lu, un art japonais du "bien manger" qui met côte à côte des petites parts pour tout le repas et surtout, colorés, pour donner envie à l'enfant d'en manger. J'ai l'impression que ça prend un maximum de temps.
Les Deschiens se donnent bien du mal, eux aussi, pour leur gamin.
La chanson du jour : Morcheeba chante "Rome wasn't built in a day"
Et la liste des "achats récurrents, été comme hiver, dans chaque chariot"
- Coca-Cola
- Yaourts
- Lait
- Nesquik
(maintenant, à vous de jouer)